Mon combat

Brisé psychologiquement, anéanti physiquement, je refuse de rester silencieux ! Je serai donc l’une des sentinelles citoyenne du « plus jamais ça » !

Les sociétés de logements devraient être contraintes d’informer chaque locataire des dangers potentiels liés à la domiciliation dans un logement social.

Il est impératif qu’elles s’assurent que toutes les formalités et obligations soient bien remplies pour éviter que de tels drames ne se reproduisent.

Trop souvent, ces institutions se réfugient derrière des formules toutes faites : « Nul n’est censé ignorer la loi » ou « Je ne fais que mon travail ». Ces phrases assassines permettent aux pires bourreaux de dormir la conscience tranquille, sans jamais assumer les conséquences humaines de leurs décisions !

Mon cas doit devenir un fer de lance, un exemple qui pousse à une réforme urgente et nécessaire. Lorsque La Sambrienne a déclaré que « tout était en ordre », cela aurait dû s’accompagner de recommandations claires sur les risques d’expulsion. Ni Béatrice ni moi-même n’avions quelque chose à gagner en négligeant une formalité supplémentaire, bien au contraire.

Le « piège » était tendu, et nous y sommes tombés dedans…

Il est temps que cela change. Il est temps que cette violence sociale passée trop souvent sous silence, retrouve une place sous les regards de nos décideurs.

 

Mon initiative citoyenne

Ce que je vis actuellement illustre les dérives d’un système qui semble ignorer ses propres règles déontologiques. Aujourd’hui, je me bats pour :

  • Assurer des réponses rapides et justes aux demandes de logement sociaux, dans le respect des droits des locataires.​
  • Contester les préavis litigieux, les abus et autres manquements aux règles et à la dignité humaine.
  • Un devoir d’information et une meilleure protection face aux règlements des organismes de logements.
  • Mettre en lumière les malheureuses expériences de concitoyens ayant vécu des situations similaires.

Soutenez-moi en signant mon initiative citoyenne ! Pour que de telles violences sociales ne soient plus ignorées. Pour empêcher les expulsions injustes de citoyens qui  honorent leur part du marché. Ensemble, pour remettre un peu d’humanité dans une marmite administrative bien trop peu souvent en ébullition…